Sa photo en dit long sur ses pensées coquines
De songer à cet homme, elle en devient mutine
Un seul regard de lui revient tout déclancher
Son corps brûle à nouveau d'un désir insensé
Elle est là qui le guette, elle est là qui l'épie
Et n'a au fond d'ell'-mêm' qu'une intense folie
Rêve de ses mains douces sur ses pages de vie
Feuilletant ça et là ses endroits interdits
Alors elle s'habille d'un déshabillé
Le tente de ses charmes autant qu'ell' sait le faire
Tissant autour de lui sa toile d'araignée
Comme toile d'amour elle tend ses filets
Elle qui le veut tant contre sa peau si douce
Elle usera de tous les talents qu'ont les femmes
Et sait qu'elle a l'envie si forte qu'il la "trousse"
Plus forte que raison, y damnerait son âme
Ell' dit "mon mac à moi" , c'est son appartenance
Ell' se prostituerait pour lui s'il le fallait
Il s'rait son seul client, ell' serait sa démence
Sa "chose" obéissante à qui ell' donnerait
Tout cet amour de lui qu'ell' ne sait contenir
Fait qu'ell' l'emmènera en pays de délices
Il suffit qu'il l'a frôle et il la fait partir
Dans un corps transcendé par son amour complice